E. Gacto Fernández, « Sobre la censura literaria en el siglo XVII : Cervantes, Quevedo y la Inquis (...) Early in the investigation, Edgar was entrusted with a scrap of paper Augustus removed from the hand of the first victim Leroy Fry (Steven Maier). When comparing the writing on the scrap to a note Augustus later left for Edgar, he realizes that they are both written in the same handwriting. As such, Edgar realizes that Augustus is the real killer, filling in the blanks by talking to the barmaid and Augustus' sometimes lover, Patsy (Charlotte Gainsbourg). Jean Céard évoque Pierre Martyr et Ambroise Paré (in A. Paré, Des monstres et prodiges, op. cit., p (...) Pierre de Lancre, Tableau de l’inconstance des mauvais anges et demons […], Paris, Nicolas Buon et Jean Berjon, 1612, p. 530 : « […] ce Canon semble estre si formel, quelque interpretation qu’on luy veuille donner, pour dire que toutes les sorceleries du monde ne sont que prestiges & illusions de Satan, & qu’il n’y a rien dessentiel & reel ; qu’on peut quasi asseurer qu’il ne veut dire autre chose sinon que toutes les sorcieres resvent & songent, quant elles pensent estre reelement & corporellement transportees au sabbat. » V. Nider, « Entre política y literatura : Quevedo y las Sibilas », La Perinola, 8, 2004, p. 305-31 (...)

JACQUES-CHAQUIN N., Le théosophe et la sorcière : deux imaginaires du monde des signes. Etudes sur l’illuminisme saint-martinien et sur la démonologie, thèse d’Etat, Université Paris VII, 1994. P. Ciruelo, Reprobación de las supersticiones y hechizerias : libro muy vtil, y necessario a todos los buenos christianos [1551], [en ligne] .froid des affects caractérise la psychose blanche : c’est « la perte d’âme ». Même si le comportement garde une cohérence, le regard froid, le cœur froid, le rire discordant ne sont pas toujours loin de la dérision : « il laisse froid, son sourire est glaçant ». Dans les créations cinématographiques le diable a toujours une haleine froide, il provoque l’effroi et le froid, son sourire paralyse. CLARK S., Thinking with demons : the idea of witchcraft in early modern Europe, New York, Oxford University Press, 1997.

Furthermore, Poe confesses that he compared Landor’s handwriting on the note inviting him to the ice house to the one on the fragment found in Fry’s hand. Turns out, it was almost identical. Henri Corneille Agrippa, La magie naturelle [De occulta philosophia, 1533], éd. & trad. Jean Servie (...) liberté de Judas n’est pas niée (« ce que tu fais... »), mais le principe du mal, antagoniste de Jésus, se focalise en lui. Mystère de l’obscurité qui est l'envers du mystère de lumière ; de même que le croyant, dans sa liberté, accomplit l’œuvre divine, de même l’acteur Judas accomplit l’œuvre satanique. Conclusions Vous, vous êtes issus du père qu’est le diable et vous voulez faire les désirs de votre père. Celui-ci était homicide dès l’origine, et il ne s’est point tenu dans la Vérité, parce qu’il n’y a pas de vérité en lui. Lorsque parle le menteur, il parle de son bien propre, parce qu’il est menteur, et aussi son père ». Traduction personnelle : « libros de comedias, nouelas ni otros deste género ». Texte original cit (...)Jacques Le Goff, article « Rêves », in J. Le Goff et J.-Cl. Schmitt, Dictionnaire raisonné de l’Occ (...) Detective Augustus Landor is the killer of Leroy Fry and Randolph Ballinger. After Lea and Artemus’ deaths, Landor presents them as the killers. It doesn’t take much effort for the detective to convince Daniel that his children killed the two cadets, especially since they sought his service to remove the heart from Fry’s dead body. By creating a narrative that two dead people, who cannot dispute his arguments or claims, are the killers, Landor has been trying to cover up the murders he had committed. The detective has been exacting vengeance on Fry and Ballinger for raping his daughter Mattie. ces mouvements diaboliques se concentrent maintenant préférentiellement sur les paroles, sur les gestes et sur les symboles religieux n’est plus énigmatique après notre aperçu sur la paroxysmalité. La violence de la haine et la pesanteur du désespoir peuvent se trouver exacerbées chez le croyant lorsque, prenant au sérieux le Dieu de l’amour « jaloux », ils mesurent la grandeur de ses exigences et lorsque devant Lui ils prennent conscience de leur dysharmonie intérieure et de leur discordance d’avec Lui.

Pierre Ronzeaud, « L’imagination dans l’ Histoire comique de Francion:l’autre Naïs », in Littératures classiques. Charles Sorel, Histoire comique de Francion, N° 41, Champion, 2001, p. 67. Voir : Grahame Castor, La Poétique de la Pléiade. Etude sur la pensée et la terminologie du XVIème siècle [1964], Paris, Champion, 1998, p. 225. Cf. l’article 1162 du code de droit canonique promulgué en 1917 et révisé en 1983, article consulté en ligne le 05/06/11, et consulter également l’article 1151 du droit canonique de 1917, article consulté en ligne le 04/06/11, .P. A. Torijano, « Exorcismo y literatura. Pervivencia de las fórmulas de identificación demoníaca (...) Blocher H. , 2006. « Saillens, Ruben (1855-1942) », in Gisel P. (dir.), Encyclopédie du protestantisme, Paris/Genève, puf/Labor et Fides, coll. « Quadrige », série « Dicos poche ». H. Institoris [Heinrich Krämer] et J. Sprenger, Le Marteau des sorcières [ Malleus maleficarum, 1486], éd. et trad. A. Danet, Paris, Plon, 1973, p. 335. Les auteurs présentent ailleurs une version du phénomène plus proche du texte de Wier : « quand elles ne désirent pas être transférées corporellement, leur pratique c’est de se coucher sur le côté gauche au nom de leur diable et des démons, et alors ces choses leur sont révélées en vision imaginative. » ( Ibid., p. 279)