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Les gens de Bilbao naissent où ils veulent: premier roman

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ZTS2023
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Tout le livre est criant de vérité, Maria nous embarque dans la recherche folle de ses origines qui devient dévorante, obsédante, sa seule raison de vivre. Elle en délaisse conjoint, enfants, travail. Ce sont le père et la mère de Maria, notre narratrice. Dans la première partie du roman, celle-ci déroule en parallèle l'enfance de ses parents et la sienne. Dans un montage serré champ contre champ, elle fait défiler les scènes et les années : Victoria et ses dix frères et soeurs, l'équipe de foot du malheur ; Julian fuyant l'orphelinat pour s'embarquer en mer. Puis leur rencontre, leur amour et leur départ vers la France.

Scénariste pour le cinéma, Maria Larrea a su projeter les éléments de son autobiographie dans un premier roman tendu comme une arbalète, décochant ses scènes fortes dans le torrent d’une narration aux mots cinglants, toute entière au service d’une urgence impérieuse : « raconter mon histoire », « me la réapproprier », « récupérer le roman familial », « écrire ma vérité ». Une vérité sans laquelle les non-dits ont longtemps et insidieusement creusé leur sillon douloureux, jetant notamment Maria adolescente dans l’instabilité, la rébellion, enfin dans un mélange de honte, de rancoeur et de colère l’empêchant de se construire. Son parcours tumultueux frappe d’autant plus qu’elle nous le livre sans fard, avec une sincérité presque brutale, sur le fond implacable d’une Espagne franquiste misérable et violente, relayé par celui du déracinement et de l’ostracisme vécus dans l’exil, avant que passé et présent ne s’entremêlent autour de l’affaire des bébés volés du franquisme et du parcours du combattant des victimes pour retrouver leur identité. Maria Larrea me plonge ensuite en plein Paris où elle a été scolarisée. Julian, son père, est gardien du théâtre de la Michodière et sa mère, Victoria, femme de ménage. Hélas, cet homme boit beaucoup, de plus en plus, et violente sa femme. Cette épopée des origines de Maria Larrea racontée donc par Maria, la narratrice du roman, commence en Espagne, en Galice, en 1947, avec la naissance d'une petite fille Victoria. Sa mère qui voulait un garçon l'abandonne aux soeurs du couvent voisin puis la reprend des années plus tard. Elle aura la responsabilité de ses dix frères et soeurs et devra subir les assauts de son père. Au cours de ce roman autobiographique, elle libère tout ce qui freine son épanouissement complet de fille d'immigrés espagnols qui a grandi au coeur de Paris.Une spécialiste du tarot lui annonce qu'un mystère plane sur sa naissance. Maria va donc faire une enquête sur sa venue au monde. Ce premier roman, aussi habilement composé qu'habité par une écriture passionnée, énergique, sans concession, est autant un témoignage remarquable qu'une entrée réussie en littérature. Joséfa avait de la répartie, cette verve basque si particulière. Avec ses consœurs, elle n’aimait rien tant que se moquer des hommes. Tous éjaculateurs précoces, pas doués, voir impuissants. »

J'ai aimé que vos racines se situent dans ce Bilbao noir et enfumé, cité de l'acier de la période pré-Guggenheim, véritable port de l'angoisse aux cheminées industrielles que nous traversions avec mes parents, immigrés de l'été pour aller parader en Cantabrique dans des « paradors » de pacotilles montrer que nous étions les plus riches des pauvres. Comme beaucoup. Le Pays basque pour les Basques était son mantra, lui, l’immigré qui habitait Paris et buvait du bordeaux dans un restaurant grec tenu par des Égyptiens. Il voulait incruster dans ma cervelle cette fierté de l’appartenance, tu es basque, tu n’es pas espagnole. Ici en bref Me he sentido muy cómodo leyendo a la autora, como si me lo estuviese contando a mí directamente. Me ha gustado cómo está planteado todo y cómo va avanzando por los años hasta saber sobre sus orígenes, su nacimiento en Bilbao y su pronta ¿huida? a París. Muchos misterios en torno a su nacimiento que se dedicará a tratar de dilucidar. En fin, esto y un par de menciones que hace acerca de sus padres alocados o algo parecido, el describir la profesión de asistenta de supermercado de su amiga de la infancia que la ayuda muchísimo en Bilbao como algo gracioso, curioso y digno de mencionar por lo que aporta a la sociedad me parece un acto de caridad mas que de solidaridad y ayuda a su amiga. Todo esto chirría bastante en mi mente y muestra una privilegiada mas en este mundo de desigualdad absoluto. No solo por haber sido capaz de cambiar su estrato social si no y de mas importancia, por haber tenido una familia que la ha querido, cuidado, educado (menos que mas bien en algunos aspectos) pero prestado toda la atención de su mundo al menos del de Victoria y en menos cantidad quizá del de Julian, pero, en mucha mas cantidad y calidad que lo que dan a otros niños. Les livres d’Eve– Ma collection de livres– Temps de lecture– Joellebooks – Questions pratiques Maria Larrea – Les gens de Bilbao naissent où ils veulent

Pour l’espagnol modeste en temps de dictature, l’enfantement est la seule valeur, le produit intérieur brut. En 1947, une femme bat un poulpe et essaie d'en extraire l'encre. Soudain,elle reconnaît les douleurs de l'accouchement. Une petite fille vient au monde mais elle voulait un garçon. Elle la confie aux soeurs du couvent voisin. La fillette s'appellera Victoria. Este es un libro que yo esperaba fuera muy distinto a lo que es, esperaba que la autora hubiese tenido una experiencia de vida relacionada con los traumas y situación vulnerable de sus padres adoptivos que hubiese sido mas negativa que la que aparece en el, sin embargo por lo que que aquí se relata este no es el caso al menos por ahora. Monde• Guerre Israël-Hamas : la libération des otages suspendue, des Gazaouis en route vers le Nord… Le bilan du 50e jour

J'ajoute que Les gens de Bilbao naissent où ils veulent fait partie de la sélection pour le Prix des Lecteurs des 2 Rives 2023. Avec ce livre de la maturité, roman vertigineux sur le tortueux mystère de ses origines, Maria Larrea se libère du fardeau de trop lourds secrets et de mensonges accumulés. Par la reconstitution minutieuse de son passé – le conscient, celui des souvenirs ; l’inconscient, celui des ombres et du trouble –, elle finit par révéler un scandale massif qui empoisonne l’Espagne. C'est bien plus tard qu'une séance de tarot vient remettre en cause tout ce qui a construit la jeune femme…Hay libros que nos llaman por sus cubiertas, otros por sus sinopsis, o, como en este caso, a mí me llamó la atención por ese título. Le sumamos que vi que había ganado el premio a mejor novela debut en Francia y ya se puso en mi radar por completo. Tous deux n'ont qu'un souhait, fuir ce passé et le traumatisme provoqué par leur abandon, fuir ces institutions religieuses écrasantes et s'éloigner de cette Espagne franquiste. NetGalleyFrance et @Grasset pour #lesgensdeBilbaonaissentouilsveulent de @marialarreal Puis quelques extraits

Pero bueno, a lo que íbamos, que me enrollo, es una novela que me ha encantado de principio a fin. Me ha gustado mucho conocer la historia de María, perderme entre sus líneas y ver una realidad que a veces cuesta comprender. Esta obra narra la verdadera historia de la autora, María Larrea. A lo largo de 200 páginas, explica sus orígenes y cómo comienza a rastrearlos, un tema que se ha tratado en muchas ocasiones en cine o literatura cuando los autores son niños o niñas adoptados, como es el caso. Réalisatrice et scénariste, Maria Larrea propose dans Les gens de Bilbao naissent où ils veulent son premier roman où elle raconte la fierté du Pays basque, l’abandon, les traumatismes et la filiation comme une urgence.

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Paris, Julian exerce le métier de gardien au théâtre de la Michodière et Victoria fait des ménages. Après quelques années, ils ont une fille, Maria, la narratrice du roman. l'âge adulte, Maria rumine et carbure au Lexomil, ses relations avec ses parents, son travail de réalisatrice, tout cela s'avère sans saveur, rien ne l'enthousiasme. Avec Les gens de Bilbao naissent où ils veulent, Maria Larrea livre un témoignage autobiographique avec des mots bruts et les images qu’ils renvoient sur l’abandon, la filiation et la quête de l’identité. Cette vérité rencontre l’Histoire de l’Espagne, mais rejoint celle de tous les pouvoirs autoritaires qui espèrent l’extinction pour mieux affirmer leur puissance. Remerciements

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